Le lexique comporte des articles qui décrivent des éléments du vocabulaire
du domaine de Prolog,
des articles qui sont des exemples de programmation en
Prolog
et des articles biographiques.
Ces derniers ne donnent que les traits de l'
uvre d'un auteur
qui sont corrélés avec le domaine de
Prolog.
Les entrées sont rangées dans l'ordre lexicographique de leur partie
alphabétique romaine.
Les préfixes et suffixes alphabétiques mais non romains
(par exemple, ) sont traités comme des clés secondaires.
Il faut donc chercher «
-équivalence»*
dans les E*,
où elle sera précédée de «
-équivalence»*
et suivi de «
-équivalence»*.
Les entrées ne contenant pas de partie alphabétique sont rangées
dans l'ordre lexicographique de leur transcription romaine quand elles
en ont une qui est bien acceptée.
Par exemple,
«
»* (omega) est rangé dans les O*.
Les entrées ne contenant pas de partie alphabétique et qui n'ont pas de
transcription alphabétique bien acceptée sont rangées dans la section
«Symboles»*.
Par exemple,
«
», dont on ne sait pas s'il faut le lire «back-slash»,
«anti-slash», ou même «contre-slash», est décrit comme un symbole.
Dans les entrées correspondant à des noms composés les noms propres
sont traités comme des clés primaires.
Les noms de personnes et les noms de systèmes sont considérés
comme des noms propres.
Il faut donc chercher
«unification des termes de »*
dans les L*,
et
«univers de Herbrand»*
dans les H*,
mais
«unification d´ordre supérieur»*
dans les U*.